Tous les hommages rendus à Jeanne Dupont

Joyeuse comme toujours, merci pour tous les moments passés avec toi ! Je ne t'oublierai jamais

Ma bien aimée, nos corps sont séparés mais nos âmes restent à jamais liées. Je te souhaites un beau voyage et nous nous reverrons bientôt

Mamie, tu es partie trop tôt. Nous n'oublierons jamais nos après midi à la piscine, nos soirées à chanter et danser, nos midis dans ta cuisine.
Merci pour toute ta sagesse et ta bienveillance. Toujours avec toi

Ne dites pas : mourir ; dites : naître. Croyez.
On voit ce que je vois et ce que vous voyez ;
On est l’homme mauvais que je suis, que vous êtes ;
On se rue aux plaisirs, aux tourbillons, aux fêtes ;

On tâche d’oublier le bas, la fin, l’écueil,
La sombre égalité du mal et du cercueil ;
Quoique le plus petit vaille le plus prospère ;
Car tous les hommes sont les fils du même père ;

Ils sont la même larme et sortent du même oeil.
On vit, usant ses jours à se remplir d’orgueil ;
On marche, on court, on rêve, on souffre, on penche, on tombe,
On monte. Quelle est donc cette aube ? C’est la tombe.

Un être humain qui s’éteint, ce n’est pas un mortel qui finit.

C’est un immortel qui commence.

C’est pourquoi en allant confier où il dormira doucement à côté des siens, en attendant que j’aille l’y rejoindre, je ne lui dis pas adieu, je lui dis
à bientôt

Nous avons toujours les écharpes que tu nous avais tricotées ! Un beau souvenir que nous garderons précieusement, tant tu aimais le tricot !

Hop, à la cuisine ! Merci pour tout mamie. La rigolade et ta bonne humeur au quotidien

Il restera de toi…
Il restera de toi ce que tu as donné.
Au lieu de le garder dans des coffres rouillés.

Il restera de toi de ton jardin secret,
Une fleur oubliée qui ne s’est pas fanée.
Ce que tu as donné, en d’autres fleurira.
Celui qui perd sa vie, un jour la trouvera.

Il restera de toi ce que tu as offert
Entre les bras ouverts un matin au soleil.
Il restera de toi ce que tu as perdu
Que tu as attendu plus loin que les réveils,
Ce que tu as souffert, en d’autres revivra.
Celui qui perd sa vie, un jour la trouvera.

Il restera de toi une larme tombée,
Un sourire germé sur les yeux de ton coeur.

À toi mon amour, qui adorait ce poème amérindien !

A ceux que j’aime, et qui m’aiment
Quand je ne serai plus là, lâchez-moi !
Laissez-moi partir
Car j’ai tellement de choses à faire et à voir !

Nous sommes particulièrement touchés par le deuil qui vous frappe, recevez toute notre affection.

Tes petits enfants